Bienvenue dans le [r]OC[k]TOGONE. Chaque semaine le trône d’une année du rock n’ roll est en jeu. Max et Stéphane choisissent chacun un poulain à défendre et ils s’affrontent dans le [r]OC[k]TOGONE : pas de règle, tous les coups sont permis, un seul gagnant et un seul perdant. L’album victorieux aura l’honneur d’intégrer le [r]OC[k]TOGONEHALL OF FAME où vous retrouverez le meilleur album rock de chaque année, de 1970 à 2020.
Cette semaine direction 1986, qui est résolument placée sous le signe du thrash. Désolé pour celles et ceux qui sont fragiles des tympans, mais le [r]OC[k]TOGONE ne pouvait pas faire l’impasse sur cette confrontation de deux monstres sacrés du très très gros son que sont MASTER OF PUPPETS de Metallica et REIGN IN BLOOD de Slayer. Des poupées, du sang, des poupées de sang ? On vous laisse méditer là-dessus (mais après avoir écouté l’épisode hein !). Thrashtag « sa fé réfléchir ».
À la fin de chaque épisode Max et Stéphane ajoutent une chanson de leur prétendant aux playlists Spotify et Deezer [r]OC[k]TOGONE pour faire du bien à vos oreilles.
https://open.spotify.com/playlist/22cDREEBBoikjjWWenxAy1
https://www.deezer.com/fr/playlist/7061323564
N’hésitez pas à nous dire dans les commentaires quel est, selon vous, le meilleur album rock de 1986.
Bonne écoute à toutes et à tous et faites du bruit !
Je vote pour Slayer avant même d’écouter l’épisode.
Metallica j’ai beau essayer, je trouve les documentaires et articles sur eux plus intéressants que leur musique.
Un épisode de Rocktogone avec un album de Metallica en lice, c’est donc mieux qu’un album de Metallica pour moi ! 😀
Pour 1986 – année de « Eve lève-toi » de Julie Piétri, c’est pas rien ! – je devrais logiquement citer « Parade » de P&TR mais tant qu’à s’éloigner du rock et du trash metal, restons dans du brutal : il y a aussi cette année-là « RAISING HELL », le troisième RUN DMC. Même en faisant abstraction des deux-trois morceaux à guitares (tout le monde en connaît au moins un) c’est incontestablement un disque de très gros son, à coups de loops secs, de batteries live ou programmées minimalistes et de scratching bourrin. Sans parler des puissants organes vocaux de ces gugusses qui sont le vrai instrument lead de leur musique, évidemment.
Du rap comme on n’en fait plus.
Mais vraiment plus du tout.
Moment #mylife : j’avais acheté le CD à l’aveugle au lycée dans les années 90 pour son tube emblématique et je m’attendais à un album entier qui soit précurseur du rock fusion que j’affectionnais alors. Mais non, c’était pour l’essentiel du rap, bien heavy et bien « old skool ». Même vu des 90’s ça sonnait daté. J’avoue que j’avais été plutôt déçu sur le moment, mais au moins je pouvais copier It’s Tricky et Walk This Way sur mes cassettes de rock/punk/fusion gros son. Détail fun qui me revient : j’avais titré mes compilations « GRRR… » avec des volumes 1, 2, 3… ^_^
J’ai donc peu écouté ce CD mais je l’ai gardé dans un coin et ressorti des années plus tard, avec un peu plus de bouteille et d’ouverture musicale. Et là, quel baffe !
« MYYYYYY AAAAAA-DIDAS ! »
Après écoute :
Stéphane, ce que tu dis c’est pas sympa pour Britney Spears.